New Normal, entreprise IT basée au Maroc, est un partenaire des Assises de la transformation digitale en Afrique. Elle est pour la création d’opportunités d’affaires entre entreprises africaines de la tech, dans un écosystème qui prône la croissance, l’innovation et l’inclusion.
New Normal, expertise pointue dans la transformation des organisations
Lors des 13ème Assises de la transformation digitale en Afrique (ATDA) les 20 et 21 novembre 2024, à Abidjan, plusieurs entreprises offrant des solutions de cybersécurité, d’intelligence artificielle, de transformation digitale et de cloud ont exposé leur savoir-faire au Village du numérique, le parc d’exposition érigé à cet effet. Parmi ces entreprises, New Normal dont le Manager Partner, Bouchra Belhait, s’est prêtée aux questions de Digital Mag.
Selon elle, New Normal est un hub de conseil pluridisciplinaire basé au Maroc, qui dispose d’une expertise pointue dans la transformation des organisations et la conduite du changement. « Nous accompagnons nos clients en Afrique, dans la conception et la mise en œuvre des stratégies de transformation, de digitalisation et d’innovation. Nous opérons également dans la gestion des projets, l’engagement du capital humain autour d’une vision commune ainsi que l’alignement de l’architecture métiers, process et technologie », situe-t-elle les missions et attributions de son entreprise.
Le cloud et l’IA, au cœur des priorités des organisations
Pour elle, être partenaire des ATDA, répond à un objectif : Rencontrer des experts, suivre les interventions de qualité des panélistes et échanger autour des principales thématiques du paysage technologique des entreprises africaines sur les prochaines années. « Nous pensons que les thématiques abordées aux ATDA, à savoir l’IA et le cloud, se trouveront au cœur des priorités des organisations, qu’elles soient publiques ou privées et peu importe leur taille et leur secteur s’activité », précise-t-elle.
Bouchra Belhait estime, cependant, que d’autres questions liées la qualité et l’intégrité de la data, à la cybersécurité, à la responsabilité et la gestion du changement et surtout à la nécessité d’investir dans la recherche et le développement, restent à adresser pour rattraper le retard accusé par l’Afrique afin d’occuper la place qui lui revient en tant que continent riche de talents et de ressources. Elle promet, enfin, de capitaliser sur ses rencontres aux ATDA pour créer des opportunités d’affaires, renforcer la collaboration entre entreprises, partager les expériences et les synergies entre les acteurs.
Esther Droh






































