Les startups africaines ont levé un montant record de financement en 2022. Ce qui est une performance des startups africaines en 2022. Aussi un signe positif pour l’industrie technologique du continent.
Cela suppose sans doute que les investisseurs internationaux font de plus en plus confiants au potentiel de réussite des startups africaines.
Les startups Nigérians et kényanes en tête
Selon The Big Deal, une newsletter américaine qui couvre les accords de startups en Afrique, le Nigeria a conservé la première place avec environ 1,4 milliard de dollars. Ensuite les startups kényanes ont levé un record d’environ 1,3 milliard de dollars auprès d’investisseurs internationaux en 2022, aidant le pays à prendre la deuxième place sur le continent. Suivi de l’Égypte avec environ 986 millions de dollars, l’Afrique du Sud avec environ 665 millions de dollars.
Les startups à travers le continent ont levé plus de 4,8 milliards de dollars en 2022
Dans l’ ensemble, les startups à travers le continent ont levé plus de 4,8 milliards de dollars grâce à plus de 1 000 transactions de plus de 100 000 dollars. Le Big Deal prévoit que le total du financement final pour 2022 dépassera éventuellement 5 milliards de dollars.
Le rapport note que si les données s’élèvent actuellement à 4 849 millions de dollars, le total final pour 2022 est susceptible d’être plus élevé en raison d’un retard dans le partage confidentiel des accords par les investisseurs et du fait que les accords seront connus plus tard. Par exemple, une startup ne peut publier des données sur son cycle d’amorçage que lorsqu’elle annonce son cycle de série A un an ou deux plus tard.
Un signe positif pour les startups africaines en 2022
Dans l’ensemble, la solide performance des startups africaines en 2022 est un signe positif pour l’industrie technologique du continent et suggère que les investisseurs internationaux sont de plus en plus confiants dans le potentiel de réussite des startups africaines. Il sera intéressant de voir comment cette tendance se poursuivra dans les années à venir et si les startups africaines pourront maintenir leurs efforts de levée de fonds.