Porta Potty, c’est Le plus gros scandale des influenceuses web à Dubaï ! Il fait grand bruit. La toile s’enflamme. Derrière le luxe insolent de certaines influenceuses web se cache une vie de débauche qui choque leurs fans, leurs followers. Les échos de Dubaï alimentent les ébats et débats torrides…
Dans une vidéo, récemment, diffusée sur les médias sociaux, une demoiselle révèle des orgies sexuelles organisées dans la ville de Dubaï par la classe sociale fortunée locale avec des filles d’origines diverses. Ces dernières sont transformées en esclaves sexuelles.
Le scandale des Porta Potty ou « toilettes publiques »
C’est le scandale des Porta Potty désignant littéralement « toilettes publiques ». Par glissement de sens, le terme est attribué à l’ensemble des pratiques sexuelles inhumaines et indécentes vécues par ces filles. Rémunérées pour l’occasion à 39 millions FCFA pour des excréments servis en repas, 78 millions FCFA pour les relations sexuelles avec partenaires multiples, et 170 millions FCFA pour les relations avec des animaux (Zoophilie), le digital se met inéluctablement au service du vice, de la débouche, de la perversité extrême.
Dans la foulée, des images servant de pièces à conviction, sont diffusées, divulguées. Des noms et des listes fusent, distillés par des influenceurs et influenceuses web ayant vécu des expériences similaires. Parmi les filles concernées, des influenceuses africaines. En majorité. Peut-être des Ivoiriennes. Certaines s’en défendent. D’autres se taisent. Une occasion inespérée pour les premiers d’écarter du marché des concurrentes pulpeuses !
Egéries de la puissance du digital
Ces filles, égéries de la puissance du numérique, de la puissance du digital, reines des réseaux sociaux, virtuoses du verbe et de la verve, vendeuses de rêves luxuriantes, répandent quotidiennement la bien-pensance. Certaines ont un impact si fort sur leurs fans, qu’elles déchaînent des passions. Voyage à travers le monde, voitures rutilantes, vêtements de luxe. Les images de leur vie mirifique nourrissant les ambitions des nombreux followers.
Les Porta Potty viennent de ramener brutalement tout le monde du rêve à la réalité. L’émoi jette l’effroi. Le voile se déchire sur un mirage et laisse découvrir une triste vérité, une piètre réalité : en Afrique, certaines filles sont prêtes à tout pour de l’argent.
Liberté sexuelle contre billets de banque
Que dire ! Si ce n’est que tout n’était que songe et mensonge. Ces influenceuses web, parfois décriées mais souvent citées en exemple, voient leur aura s’assombrir et coursées par la vindicte populaire. Préoccupées par leur réputation, et leur statut de leader d’opinion réel ou usurpé, elles tentent vainement de s’extirper des dédales des procès sociaux ou de la sentence du public.
Naguère starisées mais désormais diabolisées dans leur propre pays, devront-elles définitivement trouver refuge à Dubaï et troquer leur liberté sexuelle contre des billets de de banque à la saveur exécrable ?
La moralité dans l’histoire est hautement spirituelle. Elle se trouve dans les Ecritures saintes : « Ne vous livrez pas à l’amour de l’argent ; contentez-vous de ce que vous avez ; car Dieu lui-même a dit : je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point », Hébreux 13 : 5. Cela ne veut pas dire qu’il faut se priver d’améliorer sa condition de vie. Il vaut plutôt mieux le faire à la sueur du front, que de le faire à la sueur de ses…
K. Bruno